Bah, elle n’existe pas, votre Afrique-là
Ce samedi, j’ai rendu visite à un bébé. Un bébé spécial. L’un de ces malheureux enfants-là qui perdent une très grande partie d’eux avant de naître. Un bébé né des mois après la mort de son père tué à la guerre, ou ce qu’on peut appeler ainsi pour faire honneur à sa mémoire. Parce que le père, absent éternel, n’avait pas été tué à la guerre, comme il ne…